1 Haziran 2016 Çarşamba

Introduction

Introduction

Un fossile correspond aux restes ou aux traces d'une plante ou d'un animal qui ont été préservés dans la croûte terrestre jusqu'à notre époque. Les fossiles collectés dans le monde entier sont notre plus importante source d'informations sur les espèces qui ont existé depuis que la vie est apparue sur Terre.
Les squelettes des êtres vivants dont le contact avec l'air fut soudainement interrompu ont été préservés, souvent parfaitement, jusqu'à notre époque. L'étude de ces fossiles nous livre constamment plus de détails sur ces animaux ou plantes éteints. Au fond, ces informations nous apprennent également quelles espèces vivantes ont existé à quelle époque.
fossile
Ci-dessous à gauche : une mouche Caddis dans de l'ambre, âgée entre 45 et 50 millions d'années A sa droite : une abeille tropicale sans dard dans de l'ambre dominicain, vieux de 24 millions d'années En haut à droite : des termites piégés dans de l'ambre, vieux de 25 millions d'années
Pour les évolutionnistes, les spécimens fossiles, souvent vieux de centaines de millions d'années, sont tous des outils qu'ils peuvent utiliser en accord avec leurs propres théories. Les évolutionnistes prennent un fossile, le comparent arbitrairement à une espèce actuelle, puis ils affirment qu'il est l'ancêtre de l'organisme auquel il a été comparé. A partir de ce principe, ils construisent des scénarios spectaculaires et détaillés. Si le fossile en question est un poisson, par exemple, ils affirment sur la base de quelques os qu'il possède des caractéristiques primitives, de nouveaux organes en cours de développement et des membres en transition vers une forme de vie plus "élevée". Ils écrivent des livres sur la créature, tiennent des conférences et l'exhibent comme la forme intermédiaire ou le "chaînon manquant" qu'ils recherchaient depuis si longtemps.
Cela se passe ainsi jusqu'à ce qu'ils découvrent un spécimen vivant de cette créature soi-disant éteinte!
Quand un être vivant apparaît sous la même forme qu'on pensait qu'il existait il y a des millions d'années, cela démolit toutes les fables évolutionnistes racontées à son sujet. Sa simple présence démontre qu'un organisme vivant qui, selon les affirmations des darwinistes, aurait du subir une évolution considérable après le passage de millions d'années, est resté d'une manière ou d'une autre en dehors de ce prétendu processus. De plus, cela prouve qu'à une époque où, encore selon les évolutionnistes, seules des formes primitives de vie devaient exister, des formes de vie pleinement développées, possédant des caractéristiques complexes et leurs propres structures uniques, prospéraient déjà. La créature que les évolutionnistes imaginent comme étant "primitive" n'est en fait rien de tout cela. En d'autres mots, on se rend compte de la nature trompeuse des conjectures concernant la "transition à partir d'un organisme unicellulaire", "une forme intermédiaire" et "une forme de vie primitive". Finalement, des preuves importantes montrent que le "processus d'évolution graduelle" n'est rien d'autre qu'un mythe.
Tous ces spécimens manifestent une seule vérité: les êtres vivants ne sont pas apparus selon le processus fictif de la théorie de l'évolution, mais ils ont été créés en un seul instant. Les êtres vivants actuels, avec toutes leurs caractéristiques parfaites, illustrant l'œuvre de l'Artiste Suprême qu'est Dieu, possèdent exactement la même splendeur et la même perfection que leurs homologues qui existaient il y a des millions d'années. Une fois que toutes les spéculations et les affirmations évolutionnistes sont éliminées, le fait de la création s'impose – quoique d'une manière totalement inattendue par les évolutionnistes.
Les "fossiles vivants" sont la preuve que tous les êtres vivants sur Terre, passés et présents, ont été créés à partir de rien, et que chacun, possédant des attributs complexes et supérieurs, est un miracle de Dieu. Cela signifie qu'en réalité, le soi-disant processus évolutionnaire qui se serait produit au cours de millions d'années n'a jamais eu lieu. Les formes intermédiaires fictives disparaissent en même temps que les scénarios fictifs.

L'origine des espèces selon les archives fossiles: LA CRÉATION

L'origine des espèces selon les archives fossiles:
LA CRÉATION

La théorie de l'évolution affirme que toutes les especes vivantes sur Terre descendent, au moyen d'une série de changements minuscules, d'un ancêtre commun. Pour énoncer la théorie d'une autre manière, les espèces vivantes ne sont pas séparées les unes des autres par des différences absolues, mais elles affichent une continuité interne. Pourtant, les observations de la nature n'ont pas relevé une telle continuité. Nous voyons dans le monde du vivant différentes catégories d'organismes, séparées par des différences vastes et distinctes. Robert Carroll, un expert en paléontologie des vertébrés, admet dans son livre Patterns and Processes of Vertebrate Evolution (Les schémas et les processus de l'évolution des vertébrés):
Bien qu'un nombre pratiquement inimaginable d'espèces habitent sur Terre aujourd'hui, elles ne forment pas un spectre continu d'intermédiaires à peine distinguables les uns des autres. Au lieu de cela, pratiquement toutes les espèces peuvent se reconnaître comme appartenant à un nombre relativement limité de grands groupes clairement distincts…1
L'évolution est un processus qui est supposé avoir eu lieu dans le passé, et les découvertes fossiles sont la seule source scientifique qui peut nous renseigner sur l'histoire de la vie. Pierre Grassé dit à ce propos:
Les naturalistes doivent se rappeler que le processus de l'évolution n'est révélé qu'au travers des formes fossiles. … Seule la paléontologie peut leur fournir la preuve de l'évolution et révéler son cours ou ses mécanismes.2
Pour que les archives fossiles jettent la lumière sur ce sujet, nous avons besoin de comparer ce que prédit la théorie de l'évolution avec les véritables découvertes fossiles.
oiseaux
En dépit de leur manque de preuves scientifiques, les évolutionnistes maintiennent que les oiseaux ont évolué à partir des reptiles. Il est bien sûr impossible qu'une telle transition ait eu lieu. Les évolutionnistes sont incapables de fournir la moindre explication scientifique rationnelle pour expliquer comment les plumes d'oiseaux si complexes ont pu se former à partir d'écailles de dinosaures.
Selon cette théorie, tous les êtres vivants descendent de formes "ancestrales" diverses. Une espèce vivante qui existait auparavant s'est transformée progressivement en une autre espèce, et toutes les espèces actuelles sont apparues de cette manière. Cette transition se serait déroulée lentement sur des centaines de millions d'années et aurait progressé par étapes. Si tel est le cas, d'innombrables "formes intermédiaires" ont dû apparaître et vivre au cours du long processus de transition en question. Et certaines d'entre elles ont dû certainement se fossiliser.
Par exemple, des créatures mi-poissons, mi-amphibiens portant toujours des caractéristiques de poissons mais ayant aussi acquis certaines caractéristiques des amphibiens ont dû exister. Et des oiseaux-reptiles avec des caractéristiques à la fois reptiliennes et aviaires ont dû apparaître. Puisque ces créatures subissaient un processus de transition, elles ont dû être déformées, défectueuses et imparfaites. Ces créatures théoriques qui ont soi-disant existé dans le passé sont connues sous le nom de "formes intermédiaires".
Si de telles espèces vivantes ont réellement existé, alors elles doivent se compter en millions, voire en milliards. Des traces abondantes de leur existence doivent se retrouver dans les archives fossiles, car le nombre de formes intermédiaires doit même être plus important que le nombre d'espèces animales connues aujourd'hui. Les strates géologiques doivent être remplies des restes de formes intermédiaires fossilisées et Darwin lui-même a admis cette idée. Comme il l'écrit dans son livre, De l'origine des espèces:
Si ma théorie est exacte, d'innombrables variétés intermédiaires, liant fortement toutes les espèces du même groupe doivent avoir existé… Par conséquent, des preuves de leur existence passée doivent se trouver parmi les restes fossiles.3
Pourtant Darwin avait conscience qu'aucune forme intermédiaire n'avait encore été retrouvée, et il considérait cela comme un dilemme majeur pour sa théorie. Dans le chapitre "Difficultés de la théorie", il écrit:
… Pourquoi, si les espèces descendent les unes des autres par des degrés extrêmement fins, ne voyons-nous pas partout d'innombrables formes de transition? Pourquoi la nature n'est-elle pas dans la confusion au lieu de ces espèces, comme nous les voyons, parfaitement définies?… Mais, comme selon cette théorie d'innombrables formes de transition ont dû exister, pourquoi ne les voyons-nous pas enfouies en nombre extrêmement important dans la croûte terrestre?... Pourquoi alors chaque formation géologique et chaque strate n'est-elle pas remplie de ces liens intermédiaires? La géologie ne révèle assurément pas une telle chaîne organique finement graduée; et cela, peut-être, est l'objection la plus évidente et la plus grave qui puisse être exposée contre ma théorie.4

Le Nombre Suffisant De Fossiles

oiseaux

Un fossile de poisson osseux datant de quelques 210 millions d'années
Une grenouille fossilisée, vieille d'environ 33,7-53 millions d'années


Un fossile de crabe d'environ 35-55 millions d'années
Un fossile d'échinoderme (étoile de mer) datant de 135 millions d'années



Une araignée fossilisée, vieille de 295 à 355 millions d'années
Un fossile de trionyx (tortue), âgé d'environ 300 millions d'années


En face de cette difficulté due au manque de formes intermédiaires, Darwin a affirmé, il y a 140 ans, que celles-ci n'étaient pas encore disponibles mais que de nouvelles recherches à venir les déterreraient sans aucun doute. Mais est-ce vrai? On sait aujourd'hui que toutes les recherches de fossiles menées jusqu'à ce jour n'ont rien révélé. Alors, devons-nous accepter qu'aucune forme intermédiaire n'a en réalité jamais existé, ou devons-nous attendre les résultats de fouilles ultérieures encore plus approfondies?
La réponse à cette question dépend bien sûr de la richesse des archives fossiles que nous avons déjà à notre disposition. En étudiant les données paléontologiques, on s'aperçoit que les archives fossiles sont extraordinairement riches, avec littéralement des milliards de spécimens fossiles obtenus dans différentes régions du globe.5 En examinant ces fossiles, les experts ont identifié quelques 250.000 espèces différentes, dont un grand nombre affiche une ressemblance extraordinairement proche avec les 1,5 million d'espèces vivants aujourd'hui.6 (Sur les 1,5 million d'espèces vivant aujourd'hui, 1 million sont des insectes.) Pourtant, parmi ces spécimens innombrables de fossiles, aucune forme intermédiaire supposée n'a jamais été retrouvée. Il semble impossible que les formes intermédiaires, non découvertes en dépit de la richesse des archives fossiles, soient un jour déterrées dans de nouvelles fouilles.
animaux
Tous les êtres vivants sur Terre sont apparus soudainement avec toutes leurs caractéristiques complexes et supérieures. En d'autres mots, ils ont été créés. Absolument aucune preuve scientifique ne suggère que les êtres vivants puissent descendre les uns des autres, comme l'affirment les évolutionnistes.
T. Neville George, professeur de paléontologie à l'Université de Glasgow, admit il y a plusieurs années:
Il n'y a plus à s'excuser plus longtemps pour la pauvreté des archives fossiles. D'une certaine manière elles se sont tellement enrichies qu'elles sont devenues difficilement gérables, et les découvertes dépassent l'intégration… Les archives fossiles continuent néanmoins à être composées principalement de trous.7
Niles Eldredge, célèbre paléontologiste et directeur de l'American Museum of Natural History, indique que l'affirmation de Darwin que "les archives fossiles sont insuffisantes, c'est pourquoi nous ne retrouvons aucune forme intermédiaire" est invalide:
Les sauts dans les archives, et toutes les preuves montrent que les archives sont vraies: les trous que nous voyons [dans les archives fossiles] reflètent de véritables évènements dans l'histoire de la vie – et non pas la conséquence d'archives fossiles pauvres.8
Dans son livre, Beyond Natural Selection (Au-delà de la sélection naturelle) publié en 1991, Robert Wesson dit que les trous dans les archives fossiles sont réels et phénoménaux:
Les intervalles dans les archives sont néanmoins réels. L'absence du moindre enregistrement du développement de nouvelles branches importantes est assez phénoménale. Les espèces sont d'habitude statiques, ou presque, pendant de longues périodes,… les genres ne montrent jamais la moindre évolution en de nouvelles espèces ou en d'autres genres, mais le remplacement d'une espèce par une autre, et ce changement est plus ou moins brusque.9
L'argument avancé il y a 140 ans qu'aucune forme intermédiaire n'a encore été retrouvée, mais qu'elle le sera dans l'avenir ne tient plus aujourd'hui. Les archives fossiles sont suffisamment riches pour raconter l'origine de la vie, et cela révèle une image concrète: des espèces différentes sont apparues toutes indépendamment les unes des autres, soudainement, et avec toutes leurs structures différentes. Aucune "forme intermédiaire" évolutionnaire et imaginaire n'a existé entre elles.

Les Faits Révélés Par Les Archives Fossiles

oiseaux
Une nymphe de cigale, vieille de 45 à 50 millions d'années
Une chenille vieille de 24 millions d'années emprisonnée dans de l'ambre est une preuve montrant que les chenilles ont toujours existé sous exactement la même forme – et qu'elles n'ont subi aucune évolution.
Quelle est l'origine de la relation "évolution-paléontologie" qu'on a imprimée dans le subconscient des gens? Pourquoi est-ce que lorsqu'on mentionne les fossiles, la plupart des gens supposent qu'il existe un lien positif et définitif entre ces archives et la théorie de Darwin? Les réponses sont exposées dans un article du magazine Science:
Un grand nombre de scientifiques bien formés dans d'autres branches qu'en biologie et en paléontologie évolutionniste ont malheureusement émis l'idée que les archives fossiles sont plus darwiniennes qu'elles ne le sont. Cela provient probablement de la schématisation inévitable dans les sources secondaires : les manuels scolaires, les articles populaires et ainsi de suite. Il y a aussi probablement le fait de vouloir prendre ses désirs pour des réalités. Les années qui ont suivi Darwin, les adeptes de celui-ci espéraient trouver des développements prévisibles. En général, ceux-ci n'ont pas été trouvés mais l'optimisme est resté de rigueur, et l'imaginaire s'est glissé dans les manuels.10
N. Eldredge et Ian Tattershall font le commentaire suivant sur ce sujet:
Que les types individuels de fossiles restent identiques tout au long de leur apparition dans les archives fossiles est un fait connu des paléontologistes bien avant que Darwin n'ait publié son Origine. Darwin lui-même, … prédit que les générations futures de paléontologistes rempliraient ces trous par des recherches consciencieuses… Cent vingt ans de recherches paléontologiques plus tard, il est devenu en tout point clair que les archives fossiles ne confirmeront pas cette partie des prédictions de Darwin. Et le problème ne vient pas d'une insuffisance de fossiles. Les archives fossiles montrent tout simplement que cette prédiction est fausse.

L'observation que les espèces sont des entités remarquablement statiques et conservatrices sur de longues périodes de temps a toutes les qualités des nouveaux vêtements de l'empereur : tout le monde le savait mais préférait l'ignorer. Les paléontologistes, face à des archives récalcitrantes refusant obstinément de suivre le schéma prédit par Darwin, détournent simplement les yeux.11
Le paléontologiste américain S. M. Stanley décrit comment ce fait, révélé par les archives fossiles, est ignoré par le dogme darwiniste qui domine le monde scientifique, et comment les autres sont aussi encouragés à l'ignorer:
Les archives fossiles connues ne sont pas, et n'ont jamais été, en accord avec le gradualisme. Ce qui est remarquable est que, à travers différentes circonstances historiques, même l'histoire de l'opposition a été obscurcie… "La majorité des paléontologistes sentent que leurs preuves contredisent simplement la théorie de Darwin que des changements minuscules, lents et cumulatifs mènent à la transformation des espèces." … leur histoire a été supprimée.12

NOTES

1. Robert L. Carroll, Patterns and Processes of Vertebrate Evolution, Cambridge University Press, 1997, p. 9
2. Pierre Grassé, Evolution of Living Organisms, New York, Academic Press, 1977, p. 82
3. Charles Darwin, The Origin of Species, p. 179
4. Ibid., p. 172
5. Duane T. Gish, Evolution: Fossils Still Say No, CA, 1995, p. 41
6. David Day, Vanished Species, Gallery Books, New York, 1989
7. T. N. George, "Fossils in Evolutionary Perspective," Science Progress, Vol. 48, January 1960, p. 1
8. N. Eldredge and I. Tattersall, The Myths of Human Evolution, Columbia University Press, 1982, p. 59
9. Robert G. Wesson, Beyond Natural Selection, MIT Press, Cambridge, MA, 1991, p. 45
10. Science, July 17, 1981, p. 289
11. Eldredge and Tattersall, The Myths of Human Evolution, pp. 45-46
12. S. M. Stanley, The New Evolutionary Timetable: Fossils, Genes, and the Origin of Species, Basic Books Inc. Publishers, N.Y., 1981, p. 71

La Stase Dans Les Archives Fossiles

La Stase Dans Les Archives Fossiles

Quand on étudie l'histoire naturelle, on ne trouve pas d'êtres vivants dont "les structures anatomiques évoluent", mais des êtres qui sont restés identiques, même au cours de centaines de millions d'années. Ce manque de changement est appelé "stase" par les scientifiques. Les fossiles vivants et les organismes qui n'ont pas survécu jusqu'à notre époque, mais qui ont laissé derrière eux leurs fossiles dans différentes strates de la Terre à travers l'histoire, sont des preuves concrètes de la stase dans les archives fossiles. Et cette stase montre clairement qu'aucun processus graduel d'évolution n'a jamais eu lieu. Dans un article du magazine Natural History, Stephen Jay Gould décrit cette incohérence entre les archives fossiles et la théorie de l'évolution:
raie bouclée
Un fossile de raie bouclée datant de l'ère Mésozoïque (il y a 65 à 245 millions d'années) possède exactement les mêmes caractéristiques que celles vivant dans nos mers aujourd'hui. Cette créature particulière, âgée d'environ 250 millions d'années, démontre clairement que le processus évolutionnaire est pur invention.
L'histoire de la plupart des espèces de fossiles inclut deux caractéristiques particulièrement incohérentes avec le gradualisme: 1. La stase. La plupart des espèces ne montrent aucun changement directionnel au cours de leur vie sur terre. Elles apparaissent dans les archives fossiles visiblement identiques à ce qu'elles sont lorsqu'elles disparaissent; les changements morphologiques sont habituellement limités et sans direction. 2. Une apparition soudaine.Dans n'importe quelle zone locale, une espèce n'apparaît pas graduellement par la transformation de ses ancêtres; elle apparaît tout d'un coup et "complètement formée".13
Si un être vivant survit sous une forme parfaite jusqu'à notre époque avec toutes les caractéristiques qu'il affichait des millions d'années auparavant et s'il n'a subi aucun changement, alors cette preuve est assez puissante pour rejeter complètement le modèle d'évolution graduel anticipé par Darwin. En outre, il n'y a pas qu'un seul exemple pour démontrer cela; en réalité, les exemples font légion. D'innombrables organismes ne montrent aucune différence avec leur état originel qui date de millions voire de centaines de millions d'années. Comme énoncé ouvertement par Niles Eldredge, cet état de fait force les paléontologistes à se détourner de l'idée d'évolution qui, pourtant, demeure toujours soutenue de nos jours:
Il n'est pas étonnant que les paléontologistes se sont détournés de [la théorie de] l'évolution depuis si longtemps. Elle semble n'avoir jamais eu lieu. Des collectes assidues mènent à des zigzags, à des oscillations mineures, et quelques fois à l'accumulation minime, occasionnelle de changements s'opérant sur des millions d'années, à une vitesse trop lente pour réellement expliquer tous les changements prodigieux qui se sont produits au cours de l'histoire évolutionnaire.14
La stase dans les archives fossiles représente réellement le plus grand problème auquel font face les adeptes de l'évolution. Les évolutionnistes cherchent désespérément dans les archives fossiles la preuve dont ils ont besoin pour prouver leur processus fictif d'évolution. Cependant, les fossiles ne fournissent aucune des formes intermédiaires qu'ils recherchent, mais révèlent, en plus, que les êtres vivants qui sont supposés avoir subi un processus de changement au cours du temps n'ont subi aucune évolution, même après des centaines de millions d'années. Les formes vivantes actuelles sont identiques aux formes originelles, et n'ont jamais subi le changement graduel avancé par Darwin.
Niles Eldredge décrit comment la stase si longtemps négligée par les paléontologistes sape l'affirmation de Darwin d'une évolution graduelle:
Mais la stase était jetée de manière pratique comme une caractéristique de l'histoire de la vie dont la biologie évolutionniste devait s'accommoder. Et la stase a continué d'être ignorée jusqu'à ce que Gould et moi montrions qu'une telle stabilité est un aspect réel de l'histoire de la vie qui doit être affronté – et qu'en fait, cela ne pose aucune menace fondamentale à la notion même d'évolution. C'était là le problème de Darwin: pour établir la plausibilité de l'idée d'évolution, Darwin sentait qu'il devait saper l'ancienne… doctrine de la fixité des espèces. La stase, pour Darwin, était un horrible inconvénient.15
En voyant l'invalidité de l'affirmation de Darwin à propos d'une évolution graduelle, Eldredge a avancé l'idée, avec Stephen J. Gould, d'"équilibre ponctué", et ses paroles ci-dessus étaient une expression précise de la difficulté que posait la stase à Darwin. Pourtant, ce qu'Eldredge semble ignorer ou négliger est que la stase qui est si manifeste dans les archives fossiles représente également un dilemme majeur pour l'équilibre ponctué.
La stase dans les archives fossiles
Si l'évolution avait réellement eu lieu alors les organismes vivants auraient dû se développer par des changements graduels et continuer à se développer au fil du temps. Mais les archives fossiles montrent exactement le contraire. Différents groupes d'organismes apparaissent soudainement sans ancêtres semblables derrière eux, et restent dans leur état originel pendant des millions d'années, en ne subissant aucun changement.
fossiles
Les ammonites sont apparus il y a quelques 350 millions d'années, puis ont disparu il y a 65 millions d'années. Mais au cours de cette période de 300 millions d'années, la structure visible dans ces fossiles n'a jamais changé.
Une étoile de mer datant de quelques 100 millions d'années
Un fossile de limule de la période Ordovicienne. Ce fossile vieux de 450 millions d'années n'est pas différent des spécimens vivants aujourd'hui.
fossiles
Des fossiles d'huîtres de la période Ordovicienne, en aucun point différentes de leurs homologues modernes
Des mouches fossilisées vieilles de 35 millions d'années, affichant la même structure corporelle que les mouches actuelles
fossiles
Cette crevette fossilisée de 170 millions d'années de la période Jurassique n'est pas différente des crevettes vivantes d'aujourd'hui.
Cette libellule fossilisée depuis 140 millions d'années et retrouvée en Bavière, en Allemagne, est identique aux libellules vivantes.
fossiles

Le plus vieux scorpion fossilisé connu, retrouvé en East Kirkton en Ecosse. Cette espèce, connue sous le nom Pulmonoscorpis kirktoniensis, est âgée de 320 millions d'années, mais n'est pas différente des scorpions actuels.(droite)

Un insecte fossilisé dans l'ambre, vieux de quelques 170 millions d'années mais semblable à ses homologues d'aujourd'hui, retrouvé sur la côte de la Mer Baltique (à gauche)
Les paléontologistes qui ont proposé le modèle d'évolution de l'équilibre ponctué ont admis que la stase dans les archives fossiles présente effectivement un "problème". Mais puisqu'ils ont considéré comme impossible l'abandon de l'idée d'évolution, ils ont suggéré que les êtres vivants sont apparus non pas par de petits changements, mais par des changements majeurs et instantanés. Selon cette affirmation, les changements évolutionnaires ont lieu au cours de très courts intervalles de temps, et dans des populations très restreintes. Jusqu'à ce saut soudain, la population n'affiche aucun ou seulement de petits changements et reste dans une sorte d'équilibre. Puisque les populations hypothétiques concernées étaient restreintes, les soi-disant grandes mutations seraient très rapidement favorisées par la sélection naturelle, et ainsi – d'une manière ou d'une autre – l'apparition d'une nouvelle espèce serait établie.
Ce modèle d'évolution a maintenant été réfuté, avec un grand nombre de preuves, par les sciences de la microbiologie et de la génétique. Par ailleurs, la théorie de l'équilibre ponctué ne repose sur aucune base scientifique. Cette théorie a essuyé un échec cuisant quand il s'est révélé qu'en termes génétiques, une population restreinte ne présente aucun avantage pour la théorie de l'évolution, mais plutôt un désavantage ! Bien loin de développer un moyen assez robuste pour donner naissance à de nouvelles espèces, les populations restreintes provoquent en réalité des défauts génétiques. La raison est que les individus dans de petits groupes isolés se reproduisent constamment dans un pool génétique restreint. Par conséquent, les individus normalement "hétérozygotes" – ceux bénéficiant d'un grand pool génétique – deviennent "homozygotes" ou plus restreints dans leurs variations génétiques. Le résultat est que des gènes défectueux normalement récessifs deviennent dominants, produisant ainsi des défauts et des maladies génétiques encore plus grands dans la population.
fossilisé
Il n'y a pas de processus évolutionnaire dans l'origine des grenouilles. Les plus vieilles grenouilles connues sont complètement différentes des poissons, elles sont apparues en premier avec leurs propres structures uniques, et elles possédaient les mêmes caractéristiques que les grenouilles de notre époque. Il n'y a pas de différence entre cette grenouille fossilisée dans de l'ambre Dominicain âgée d'environ 25 millions d'années et les spécimens vivants.
Ainsi, il faut conclure que le manque de formes intermédiaires dans les archives fossiles ne peut être le résultat d'une évolution se produisant dans des populations restreintes. En plus de toutes ces impossibilités scientifiques, les adeptes de l'équilibre ponctué ne peuvent expliquer pourquoi les traces de ce type de changements ne se retrouvent pas dans les archives fossiles.
Cela démontre clairement que le modèle graduel d'évolution proposé par Darwin, ainsi que le modèle de l'équilibre ponctué mis en avant pour combler les défauts du premier, ne sont pas capables d'expliquer la stase des archives fossiles, l'apparition soudaine de formes vivantes, et le manque de formes de transition. Quelle que soit la théorie proposée, toutes les affirmations que les organismes vivants ont subi une évolution seront mises en échec et elles sont scientifiquement condamnées à s'effondrer, car les êtres vivants n'ont pas évolué. Dieu a créé tous les êtres vivants dans leurs formes parfaites, à partir du néant. Donc toutes les affirmations que les êtres vivants auraient évolué sont condamnées à disparaître.
Stephen J. Gould, un des pères intellectuels de la théorie de "l'équilibre ponctué", admit cela en toute clarté lors d'une conférence qu'il donna au Hobart & William Smith College:
Chaque paléontologiste sait que la plupart des espèces ne changent pas. C'est gênant… amène une détresse terrible…. Elles peuvent grandir ou changer un peu. Mais elles restent les mêmes espèces et cela n'est pas dû à des imperfections et des intervalles mais à la stase. Et pourtant cette stase remarquable a été généralement ignorée délibérément, considérée comme n'étant pas de l'information. Si elles [les espèces] ne changent pas, ce n'est pas de l'évolution – donc vous n'en parlez pas.16

"L'inefficacité" De L'environnement

fossiles
Le requin, une des créatures les plus dangereuses dans la mer, et un fossile vieux de 400 millions d'années, montrent que les requins n'ont jamais subi la moindre évolution.
Les fossiles vivants reflètent l'absence de différence entre les spécimens d'aujourd'hui et les restes fossilisés du passé, et ils offrent donc la preuve que les espèces n'ont subi aucune évolution sur des millions d'années. De cette manière, ils portent un coup sévère à la théorie de l'évolution laquelle affirme, ce qui est bien connu, que seuls les organismes capables de s'adapter aux changements des conditions environnementales survivent, et que ceux-ci évoluent en d'autres êtres vivants sous l'effet de changements aléatoires imaginaires. Mais les fossiles vivants montrent que l'idée d'espèces "réagissant" graduellement aux conditions environnementales est en réalité sans fondement.
Des exemples de fossiles vivants très vieux incluent le requin, lequel ne révèle aucune trace de changement bien que vieux d'environ 400 millions d'années. Le Cœlacanthe, que les évolutionnistes représentaient comme une forme intermédiaire entre le poisson et les amphibiens jusqu'à ce que des spécimens vivants soient retrouvés en Madagascar, constitue une réfutation frappante au scénario du changement de la théorie de l'évolution.
En dépit de son point de vue évolutionniste, le magazine Focus fait référence aux êtres vivants qui sont restés inchangés pendant des millions d'années dans son édition d'avril 2003, qui traite du Cœlacanthe:
La découverte qu'une créature aussi grosse que le Cœlacanthe ait vécu pendant autant d'années en-dehors des connaissances du monde scientifique mène à s'y intéresser de plus près. Pourtant il existe un grand nombre d'organismes qui, comme le Cœlacanthe, sont identiques aux fossiles datant d'il y a des millions d'années. Par exemple, le Néopilina, une espèce de crustacée, est resté inchangé pendant 500 millions d'années, le scorpion pendant 430 millions d'années, le Limulus, une créature marine portant une carapace et une queue en forme d'épée, pendant 225 millions d'années, et le Tuatara, une espèce de reptile vivant en Nouvelle Zélande, pendant 230 millions d'années. Bon nombre d'arthropodes, de crocodiles, de tortues et un grand nombre d'espèces de plantes sont les autres composants de cette liste en expansion.17
fossiles
Une feuille d'érable fossilisée datant de plusieurs millions d'années, et des feuilles d'érable modernes
En arrière-plan : le plus vieux fossile connu de plante à fleurs
Un fossile de salamandre, vieux de 160 millions d'années
fossiles
Un fossile de fourmi préservée dans de l'ambre et une fourmi vivant aujourd'hui. Ces créatures sont toujours identiques à ce qu'elles étaient il y a des millions d'années.
Un crocodile fossilisé, vieux de 190 millions d'années, et un crocodile de notre époque
fossiles
Une plume fossilisée, vieille de 120 millions d'années
A droite : une fleur fossilisée. Au-dessus : une primevère actuelle.
fossiles
Des fossiles de serpent datant de millions d'années montrent que les serpents n'ont pas du tout changé.
En arrière-plan : une plume de pic, qui est identique aux plumes des pics-verts actuels.
Focus a cité des exemples de cafards et d'archéobactéries, et a admis ouvertement que ces espèces portent un coup dur à la théorie de l'évolution:
Les considérant d'un point de vue évolutionniste, la probabilité que de tels organismes subissent des mutations est plus élevée que celle des autres. Car chaque nouvelle génération signifie la copie de l'ADN. En gardant à l'esprit le nombre de fois où le processus de copie se déroule sur des millions d'années, une image intéressante apparaît. En théorie, différents éléments de pression comme les conditions environnementales changeantes, des espèces hostiles et la compétition entre espèces devraient mener à la sélection naturelle, la sélection des espèces avantagées par les mutations, et à ce que ces espèces subissent des changements plus importants sur une aussi longue période. POURTANT LES FAITS SONT DE TOUTE AUTRE NATURE. Considérons les cafard, par exemple. Ceux-ci se reproduisent très rapidement et ont des durées de vie courtes. Pourtant ils sont restés les mêmes pendant environ 250 millions d'années! Les archéobactéries sont un exemple encore plus frappant. Celles-ci sont apparues il y a 3,5 milliards d'années, quand la Terre était encore très chaude, et elles sont toujours en vie aujourd'hui dans les eaux bouillantes du Parc National de Yellowstone.
En définitive, on se rend bien compte que la théorie de l'évolution est le produit de l'imagination d'un homme – Darwin. Elle a été clairement réfutée par les découvertes scientifiques obtenues par ses propres adeptes! Les fossiles vivants montrent que l'effet de l'environnement sur les êtres vivants n'est pas une évolution mais plutôt une "non-évolution", autrement dit une "stase" scientifiquement parlant. Les espèces n'ont pas obtenu leurs structures actuelles en subissant un processus de changements aléatoires. Elles ont toutes été créées sans défaut par Dieu Tout-Puissant et elles ont persisté sous leur forme originelle tout au long de leur vie sur Terre.
fossilisé
Un scorpion fossilisé dans l'ambre, âgé de 50 millions d'années
Un fossile de tuatara et un tuatara vivant aujourd'hui
Une limule fossilisée et un spécimen actuel

NOTES

13. Stephen J. Gould, "Evolution's Erratic Pace," Natural History, Vol. 86, No. 5, May 1977, p. 14
14. Niles Eldredge, Reinventing Darwin: The Great Evolutionary Debate, [1995], phoenix: London, 1996, p. 95
15. Niles Eldredge, Time Frames: The Rethinking of Darwinian Evolution and the Theory of Punctuated Equilibria, Simon & Schuster: New York, 1985, pp. 188-189
16. Stephen Jay Gould, Lecture at Hobart & William Smith College, 14/2/1980
17. "Evrimin Cikmaz Sokaklari: Yasayan Fosiller" (Cul de sac of evolution: Living Fossils), Focus, April 2003

Des Exemples De Fossiles Vivants

Des Exemples De Fossiles Vivants

Un fossile vivant désigne un organisme dont les traces apparaissent dans les couches fossiles des premières périodes géologiques, et dont on retrouve aujourd'hui des spécimens vivants. Ces êtres vivants n'affichent aucune différence avec leurs homologues d'il y a des millions d'années, et ils représentent des exemples vivants de ces formes fossiles mortes il y a bien longtemps.
Sans aucun doute, le plus important de ces exemples est le Cœlacanthe mentionné précédemment. Pendant de nombreuses années, les évolutionnistes l'ont représenté comme la forme intermédiaire supposée la plus significative, sur laquelle ils passèrent énormément de temps à spéculer, jusqu'à ce qu'une première surprise ait lieu en 1938.

Le Cœlacanthe: Un Exemple De Fausse Forme İntermédiaire

Au large de la côte d'Afrique du Sud, au cours de l'hiver de 1938, un bateau de pêche appelé The Nerine ramena de l'Océan Indien près de la Rivière Chalumna un poisson que l'on pensait éteint depuis 70 millions d'années. Le poisson était un cœlacanthe, un animal qui prospérait du temps des dinosaures…18
Coelacanthe
Un fossile de Coelacanthe vieux de 410 millions d'années
Ci-dessous : le paléontologiste évolutionniste J. L. B. Smith et le Coelacanthe vivant pêché aux îles Comores. Ce premier spécimen a montré que le Coelacanthe était un poisson pleinement formé, et non pas une forme intermédiaire comme l'affirmaient les évolutionnistes. 200 autres spécimens découverts depuis ont confirmé ce fait significatif.
Ces paroles, de l'évolutionniste Keith S. Thompson, président de l'Académie des Sciences Naturelles de l'Université d'Oxford, sont une expression évidente de la vitesse à laquelle un mythe évolutionniste s'évanouit. La prise d'un spécimen de Cœlacanthe a éliminé une des plus grandes fondations truquées de la théorie de l'évolution.
Le Cœlacanthe, qui selon les archives fossiles, remonte à la période du Dévonien, il y a 410 millions d'années, était considéré par les évolutionnistes comme une forme intermédiaire importante entre les poissons et les reptiles. Il a été mystérieusement effacé des archives fossiles il y a 70 millions d'années, au cours de la période du Crétacé, et on pensait qu'il a disparu à cette époque.19En se basant sur ces fossiles, les biologistes évolutionnistes suggéraient que cette créature avait des poumons non fonctionnels, "primitifs". Les spéculations concernant le Cœlacanthe sont devenus tellement répandues que le poisson était cité dans de nombreuses publications scientifiques comme la preuve la plus significative de l'évolution. Des peintures et des dessins le montrant sortant de l'eau pour aller sur la terre ferme commencèrent rapidement à apparaître dans les livres et les magazines. Bien sûr, toutes ces suppositions, images et affirmations, étaient basées sur l'idée que la créature était éteinte.
La vérité était pourtant très différente. Depuis 1938, plus de 200 Cœlacanthes ont été attrapés, après le premier d'Afrique du Sud. Le second fut attrapé dans les Comores au nord-ouest de Madagascar en 1952, et un troisième au Sulawesi indonésien en 1998. Le paléontologiste évolutionniste J. L. B. Smith a été incapable de cacher sa stupéfaction lors de la capture du premier Cœlacanthe: "Si j'avais rencontré un dinosaure dans la rue, dit-il, je n'aurais pas été plus étonné."20
Cœlacanthe
Ci-dessus à gauche : un autre spécimen de Coelacanthe vivant.
Plus tard, des photos d'une paire de Cœlacanthes furent même publiées dans le magazine National Geographic!La capture de Cœlacanthes vivants révéla que les affirmations le concernant n'étaient rien d'autre que des tromperies. La structure qui était suggérée par les chercheurs évolutionnistes comme étant des poumons primitifs se révéla n'être rien d'autre que des vessies natatoires remplies de graisse. De plus, les évolutionnistes avaient toujours représenté le poisson vivant dans des eaux peu profondes, comme un reptile potentiel se préparant à ramper sur la terre ferme où il continuerait "d'évoluer". Pourtant le Cœlacanthe fut retrouvé dans les eaux des profonds océans – un poisson vivant dans les profondeurs et ne remontant pratiquement jamais au-delà de 180 mètres sous la surface de la mer.21
En 1987, le naturaliste allemand Hans Fricke a confirmé ces découvertes quand il a observé et photographié des Cœlacanthes au large de l'île de la Grande Comore. Il a observé que le poisson nageait à reculons, en avant et même penché la tête en bas, mais qu'il n'avait jamais "marché, rampé ou qu'il s'était déplacé sur ses nageoires lobées".22
Cœlacanthe
Ci-dessus à droite : la queue d'un Coelacanthe vivant et celle d'un spécimen fossile vieux de 140 millions d'années sont identiques.
Conclusion: le Cœlacanthe étant un fossile vivant, il a éliminé la soi-disant preuve que les évolutionnistes avaient exhibée si fièrement afin de soutenir leur scénario imaginaire de la transition des poissons de l'eau à la terre ferme. Quand cette créature fut découverte en 1938, elle révéla immédiatement la nature frauduleuse de cette transition. Les évolutionnistes n'ont pas dénigré les révélations sur ce fossile vivant et ils n'ont pas cherché à convaincre qui que ce soit que cette découverte était une erreur. Ils ont cessé leurs conjectures concernant le Cœlacanthe et sur l'histoire de son apparition de la mer à la terre ferme. La stase dans les archives fossiles a démoli l'histoire de l'évolution des poissons en éliminant un de ses principaux fondements.
Le professeur de science politique, Robert G. Wesson, a exposé ce fait en ces termes:
Le Cœlacanthe aux nageoires osseuses, que l'on pensait éteint depuis longtemps mais redécouvert en 1938, a été approximativement statique pendant 450 millions d'années (Avers 1989, 317). … les espèces pratiquement éternelles ne sont pas exemptes des changements de protéines qui ont lieu dans tous les êtres vivants, et elles peuvent sûrement varier de nombreuses manières sans perdre leur adaptabilité, mais leurs motifs se sont gelés d'une manière ou d'une autre. … du point de vue de la théorie évolutionniste conventionnelle, la stase de longue durée est difficile à expliquer. L'évolution rapide… est incongrue avec le fait que les espèces restent inchangées alors que les conditions changent au cours de plusieurs millions d'années.23

La Limule


Une limule
Une limule. Une limule vieille de 450 millions d'années n'est pas différente des spécimens en vie aujourd'hui. Elle possède les mêmes caractéristiques et équipements complexes depuis le dernier demi milliard d'années. Sans aucun doute, à une époque – selon les darwinistes – où les êtres vivants auraient dû évoluer, aucune évolution n'a réellement eu lieu.
Les premières archives fossiles de la limule remontent à 425 millions d'années, et pourtant ce fossile vivant vit toujours le long des rivages actuels. Sa queue, qui lui permet de marcher avec facilité dans le sable et qui est utilisé pour se diriger, ses deux yeux aux structures extrêmement complexes, et toutes ses autres caractéristiques uniques sont restés inchangés au cours des dernières 425 millions d'années.

Le Cafard

Le Cafard
Un cafard vieux de 300 millions d'années, avec exactement les mêmes caractéristiques que les cafards d'aujourd'hui. Ce fossile, qui vivait il y a 300 millions d'années, réfute définitivement les allégations du darwinisme.
Le cafard, l'insecte ailé le plus vieux au monde, apparaît pour la première fois dans les fossiles il y a 350 millions d'années, à la période Carbonifère.24 Cet insecte – avec ses différentes antennes et poils extrêmement sensibles au moindre mouvement, même aux courants d'air, ses ailes parfaites, et sa structure résistante capable même de supporter des radiations – est identique aujourd'hui à ce qu'il était il y a 350 millions d'années.25

L'okapi

L'okapi
Un autre fossile vivant qui invalide une des plus grandes "preuves" de la théorie de l'évolution – et qui révèle même une fraude perpétrée au nom de l'évolution – est l'okapi, visible dans l'illustration ci-dessous.
Les fossiles appartenant à cet animal datent de l'époque du Miocène. On a toujours cru que l'okapi était éteint – jusqu'à ce que le premier spécimen vivant soit capturé en 1901. A cette époque, il était pris comme exemple par les évolutionnistes et présenté comme une forme intermédiaire dans le scénario de l'évolution des équidés, qui est lui-même totalement faux. Cependant, avec la capture d'un okapi vivant, ce scénario de l'évolution des équidés a été également abandonné.
"L'évolution du cheval" a depuis longtemps fait l'objet de l'exposé principal au sujet de l'origine imaginaire des mammifères. Différentes espèces vivantes et éteintes étaient présentées, les unes après les autres selon leur taille, au mépris des différences anatomiques grossières entre elles, comme étant des étapes différentes de l'évolution du cheval. Ces espèces, exhibées dans les musées d'histoire naturelle pendant de nombreuses années, étaient décrites dans les manuels scolaires comme si elles étaient une preuve solide de l'évolution. Aujourd'hui, cependant, un grand nombre d'évolutionnistes admettent l'invalidité du scénario de l'évolution de l'équidé et confessent que c'est un exemple de désir pris pour une réalité totalement, une supercherie.
En novembre 1980, l'évolutionniste Boyce Rensberger prit la parole lors d'une conférence au Field Museum of Natural History à Chicago sur les problèmes rencontrés par la théorie de l'évolution, à laquelle 150 évolutionnistes ont assisté. Il décrivit le fait que le scénario de l'évolution du cheval n'avait aucune base dans les archives fossiles et que le cheval n'avait jamais suivi un processus d'évolution graduel:
L'exemple très à la mode de l'évolution du cheval, suggérant une séquence graduelle de changements à partir de créatures à quatre doigts de la taille d'un renard il y a pratiquement 50 millions d'années jusqu'au cheval à un seul doigt et plus grand, est connu depuis longtemps comme étant faux. Au lieu de changements graduels, les fossiles de chaque espèce intermédiaire apparaissent entièrement distincts, persistent inchangés puis s'éteignent. Les formes transitionnelles sont inconnues.26
Rensberger avait parfaitement raison; aucune preuve n'existe montrant qu'un processus tel que l'évolution des équidés ait jamais eu lieu. La "série" d'équidés est totalement spéculative et n'est pas basée sur des faits. De plus, il existe des différences anatomiques et physiques considérables entre ces animaux. Ce que Rensberger ignore, cependant, est le fait que les espèces de la série ne sont pas toutes éteintes. L'okapi, rencontré en 1901, est la preuve vivante, pour ainsi dire, qu'une créature que les évolutionnistes avaient toujours représentée comme une forme intermédiaire – et donc disparue – était en réalité toujours en vie. Cet animal, qui n'a aucun lien avec le cheval et qui montre une très forte ressemblance avec le zèbre, vivait à l'époque du Miocène (5,3-23 millions d'années) et affichait les mêmes caractéristiques complexes qu'il possède aujourd'hui.
Le fossile vivant de l'okapi a démoli encore une fois une des principales affirmations de la théorie de l'évolution. Le scénario de la série d'équidés, rempli à tout point de vue d'incohérences, a été finalement supprimé et mis tranquillement au rancart.
Le Dr. Niles Eldredge de l'American Museum of Natural History dit la chose suivante sur l'arbre généalogique du cheval, qui traînait toujours dans les sous-sols du musée:
Il y a eu un nombre incroyable d'histoires, certaines plus imaginatives que d'autres, sur la véritable nature de cette histoire [de la vie]. L'exemple le plus célèbre, toujours affiché en bas des escaliers, est l'exposé de l'évolution du cheval préparé il y a peut-être cinquante ans de cela. Cela fut présenté comme la vérité première dans les manuels scolaires. Maintenant je pense que cela est lamentable, particulièrement quand les gens qui proposent ce genre d'histoires peuvent être conscients de la nature spéculative de certaines de ces choses.27

D'autres Fossiles Vivants

Fossiles
Un nautilus vieux de 65 à 146 millions d'années, et des spécimens modernes identiques
Les journaux attirent fréquemment l'attention avec des gros titres comme "un fossile d'araignée vieux de 20 millions d'années découvert" ou "un fossile de lézard vieux de 35 millions d'années déterré". Chacun de ces articles est en réalité une preuve supplémentaire qu'aucun processus évolutionnaire n'a jamais eu lieu. Il y a de nombreux exemples de fossiles vivants et de plus, ces exemples remontent à des centaines de millions d'années.
Le crocodile est un reptile qui vivait il y a 200 millions d'années, comme le confirment les archives fossiles.28 Pourtant il est toujours en vie aujourd'hui. De même, le Ginkgo est un arbre qui vivait il y a 125 millions d'années. Originaire d'Extrême-Orient, il est de nos jours cultivé un peu partout pour ses feuilles qui sont utilisées en phytothérapie pour soigner les troubles circulatoires. Par ailleurs, les mollusques Neopilina vivaient il y a 500 millions d'années, le lézard tuatara il y a 200 millions d'années, et l'archéobactérie aussi loin que 3,5 milliards d'années.29 Ceux-ci sont toujours en vie aujourd'hui, avec tous leurs systèmes complexes et leurs structures parfaites. Le nautilus, un autre mollusque, vivait dans les mers il y a 300 millions d'années30 et ces créatures vivent, se nourrissent et se reproduisent de la même manière dans nos mers actuellement.
Fossiles
Une feuille d'arbre ginkgo datant de 125 millions d'années, et un exemple actuel
Les dipneustes (poissons à poumons) africains et australiens sont un autre exemple de fossiles vivants: ils vivaient il y a 400 millions d'années et prospèrent encore aujourd'hui. Charles Darwin s'est étonné de la survie de ces poissons jusqu'au temps présent, et dans son Origine des Espèces il y fait donc référence comme des "formes anomales" qui "peuvent pratiquement être appelées fossiles vivants".31
Ce n'est en aucun cas la fin de la liste des créatures qui survivent encore aujourd'hui inchangées, sous exactement la même forme qu'elles affichaient il y a des millions d'années. L'esturgeon, le maquereau, la perche commune, le hareng, l'aiguille de mer, le homard, l'écrevisse et le requin de la période du Dévonien sont tous des exemples de fossiles vivants. D'autres exemples comprennent la méduse, les éponges de mer, les grenouilles, les abeilles, les fourmis, les papillons et les termites. La libellule vieille de 230 millions d'années, les fourmis soldats datant de 100 millions d'années, et la salamandre vieille de 150 millions d'années vivent toutes encore de nos jours. La même chose s'applique aux arachnides comme l'araignée et les myriapodes comme le mille-pattes.32, 33
Enfin, une araignée fossilisée dans l'ambre, et estimée à 20 millions d'années, fut une des découvertes les plus importantes des années 2000. Une déclaration de l'Université de Manchester annonça que cette araignée, de 4 centimètres de long et de 2 centimètres de large, était identique aux spécimens actuels. On espère qu'un échantillon de sang puisse fournir l'ADN de l'arachnide.34 Cependant, cette araignée fossilisée n'est certainement pas le seul spécimen que l'on a retrouvé. D'autres fossiles d'araignées extraites de fouilles sont estimées avoir des centaines de millions d'années, et se retrouvent maintenant exposés dans les musées de différents pays. Le plus vieux et le plus parfait fossile d'araignée de mer date de 425 millions d'années – une preuve importante montrant que ces créatures sont restées inchangées pendant des millions d'années.35
Fossiles

Un poisson à poumons australien de la période du Dévonien (360-408 millions d'années). Les évolutionnistes affirment que le poisson à poumons est l'ancêtre des amphibiens. Mais la structure pulmonaire dans ces poissons n'affiche aucune ressemblance avec celle des animaux terrestres.


NOTES

18. Keith S. Thomson, Living Fossil: The Story of the Coelacanth, 1991, book cover 
19. "Evolution: Living Fossils," http://www.straight-talk.net/evolution/living.htm
20. Jean-Jacques Hublin, The Hamlyn Encyclopædia of Prehistoric Animals, New York: The Hamlyn Publishing Group Ltd., 1984, p. 120
21. Don Knapp, "New sighting of 'living fossil' intrigues scientists," CNN.com, 23 September 1998, http://edition.cnn.com/TECH/science/9809/23/living.fossil/index.html
22. "Evolution: Living Fossils," http://www.straight-talk.net/evolution/living.htm
23. Wesson, Beyond Natural Selection, 1991, MIT Press: Cambridge MA, 1994, reprint, pp. 207-208
24. "Living Fossils", Discovery Education, http://school.discovery.com/lessonplans/programs/livingfossils
25. "American cockroach," http://www.insectia.com/beta/e/iv_c202015.html
26. Boyce Rensberger, Houston Chronicle, 5 October1980, Section 4, p. 15
27. Niles Eldredge, quoted in Darwin's Enigma by Luther D. Sunderland, Santee, CA, Master Books, 1988, p. 78.
28. "Living Fossils", Discovery Education, http://school.discovery.com/lessonplans/programs/livingfossils/
29. David Catchpoole, "'Living Fossils' Enigma," http://www.answersingenesis.org/creation/v22/i2/living_fossil.asp
30. Lynn Dicks, "The Creatures Time Forgot," New Scientist, 23 October 1999
31. Charles Darwin, The Origin of Species, Penguin Books, England, 1985, p. 151
32. "Evolution: Living Fossils," http://www.straight-talk.net/evolution/living.htm
33. "Living Fossils," http://www.nwcreation.net/fossilsliving.html
34. "Spider 'is 20 million years old'", BBC News, http://news.bbc.co.uk/1/hi/england/manchester/4296398.stm
35. "A Silurian Sea Spider," Nature 431, 978-980, 21 October 2004